~l Santos Ricardo l~ [ Terminée ]

Nom: Santos
Prénom(s): RIcardo
Surnom: Le romantique.

Date de naissance: 21 juin 1970
Lieu de naissance, origines: Barcelone, Catalogne, Espagne.

Caractère:

Carlos n'est pas un tout jeune. Bien sur, ce n'est pas un vieux, mais son expérience parle lorsqu'il prend la parole. Il n'hésite pas à donner quelques morales bien fondées et placées, basées sur ses propres expérience. Il est jeune homme de bonne famille et sait se conduire aussi bien en intimitée qu'en compagnie d'une floppée de gens. Il est à l'aise dans toutes les situations, et sa grande expérience de la vie lui permettra de ne jamais se sentir mal, sur des jeux de mots que l'on pourrait faire, ou même des allusions, directes. Il est plein de bon sens et fait preuve de générositée lorsqu'une personne le mérite. Mais, il n'est pas un dieu, il n'est pas le parfait homme que l'on croirait. Il plaît, terriblement, et il le sait bien, il ne lésigne pas sur les moyens, et n'hésite pas à user de son charme irrésistible pour séduire une demoiselle, et parvenir à ses fins. Il est ignoble lorsqu'il le faut, un brin manipulater, son seul but, c'est de collectionner les demoiselles, et d'en faire un trophée de chasse de chacunes.


Histoire:

Voici ici les faits principaux de la vie de cet homme riche et bellâtre Espagnole, relaté par son père lui-même, dans un journal qu’il tenait.

Je me présente, Julian Santos, né à Madrid, capitale Espagnole, et véritable pôle économique du pays. Là bas, on y fait vite fortune si l’on sait se gérer. Pour ma part, j’ai pu faire fortune assez aisément, et c’est à l’âge de quarante-cinq ans que j’ai rencontré celle qui devenait mon épouse, Enza. Je l’ai rencontré lors d’un Séminaire, ou seuls quelques riches s’y trouvaient. J’ai su choisir une perle, sans doute. Mais ne nous attardons pas sur la vie de l’homme que je suis.

Nous sommes en juin 1970 lorsque mon unique enfant verra le monde. La mère du petit venait de le mettre au monde après quatre années de vit commune avec son père. C’était un petit nuage sur lequel vivant ce couple, et avec l’arrivée de l’enfant, ils se voyaient tous deux comblés, heureux de prouver enfin leur amour. Le petit Carlos voit le jour, symbole d’une union et héritier tant attendu d’une petite fortune. Carlos avait bien de la chance de voir le jour dans une famille tel que les Santos, eux qui attendaient avec impatience le jour ou ils pouvaient mettre au monde un seul héritier.

L’enfance de l’héritier se passait sans grand mal, non. Il vivait une époque natale très normale pour un enfant, forçant ses parents à se réveiller bien souvent en pleine nuit pour avoir un peu de réconfort, et obtenir un repas bien mérité. Le plus souvent, c’était sa mère qui s’en occupait le soir, et la journée de même d’ailleurs, son père bossant au centre ville, pour renflouer des caisses déjà pleines. Môme pourri gâté, il avait su obtenir tout ce qu’il voulait dès son plus bas age.

Alors même que le gamin était en âge de commencer à aller à l’école, il se vit suspendre ce droit, par des cours particuliers, par des instits privés, c’était, comme il avait pu l’entendre plus tard, le privilège des riches de ce monde. Ce n’était pas pour lui déplaire au début, on ne peut qu’aimer, et puis, gamin, on ne voit vraiment aucune différence, aucune. Ses cours préparatoires, eux, se font sans soucis de même. Le même professeur particulier. Mais les études ne font pas toutes l’éducation d’un bambin, et encore une fois, son père ne daignait pas trop s’en occuper, prétextant du travail intensif ou peut-être même encore vouloir se reposer. Tout reposait donc sur une mère qui faisait de son mieux. Un mari qui est trop souvent absent, la jeune femme ne pouvait que trouver d’autres moyens d’occupations. Et c’était donc avec le petit dans les bras que sans cesse les après-midi ils allaient charmer tel ou tel homme, juste pour le fait de se savoir belle encore, et désirable des hommes. C’était un jeu qu’elle avait installé, et plus tard, elle transmettrait cette gêne joueuse à son charmant gosse.

Les années collèges se passent elles aussi sans grand mal, entrant pour la première fois dans une école, il se fit ses premiers contacts avec les autres. Rapidement il se liait d’amitié avec un groupe de jeunes dont les études primaires s’étaient déroulées de même. Rapidement ils formèrent un petit groupe de jeunes, et ils devinrent très connu dans leur établissement pour ce que leurs parents ont pu faire dans le passé, ou même ces derniers jours, en investissant sans cesse, encore et encore dans les fonds de l’école, pour garantir la meilleure éducation possible.

Entrée au lycée pour des études de commerce, le jeune homme commençait déjà à aspirer une autre voie, la drague. Ayant pris pour modèle sa mère qui voulait sans cesse se rassurer de plaire auprès de la gente masculine, lui, par plaisir et jeu le faisait de même avec les filles. Cela n’a jamais nuit à ses bonnes études et tout le reste. Non. Il a obtenu ses diplômes avec mention bien. Mais dans les années folles d’un cœur en construction, il reste le mystère de la seule fille pour qui il aurait succomber plus que quelques jours, et avec qui il aurait vécu une relation amoureuse, la seule et unique, son premier amour. On dit que c’est de la qu’il partit en vrille.

Ajourd’hui à Venise, il drague sans cesse, se créant chaque jour, une nouvelle conquête.



Physique:

Ricardo n'est pas le parfait jeune homme au physique de mannequin, aux formes musculaires sans égales comme pourront l'être les plus jeunes des dom Juan, non, lui, il est plutôt un peu plus vieux, sans qu'il n'en perde un charme fou. Il à sans doute aux alentours d'une trentaine d'année bien entamée aux dire de sa belle geule d'amour qu'on lui voit. Il est d'une taille, qui, à notre époque se révèle assez courante chez les hommes, approchant le mètre quatre-vingt-cinq, et pèse pas moins de soixante-dix-huit kilos. Sans qu'aujourd'hui il ne soit le mannequin auquel on pourrait s'attendre, il garde le charme au naturel d'un espagnol. Sans doute est-ce avec son accent encore légèrement prononcé, ou bien l'assurance naturel dont il sait faire preuve lorsqu'il se met à draguer. Mais passons les géénralitées pour voir ce qu'il est, un peu plus dans les détails.

Une chevelure noire, mi-longue, qui coule le long de sa nuque telle une cascade, dont quelques mèches encadrent son visage au teint si particulier des latinos, un teint mâte. Des yeux sombres, qui ne manque pas de rappelait une mer profonde lorsqu'on s'y risque à s'y baigner. Des lèvres fines, pincées. Un torse qui se révèle assez fin, sans qu'il ne semble être anorexique. Les traits de ses muscles sont à peines visibles, mais, c'est un fait, il à pris de l'âge. Les traits de son visage auront su garder une certaine finesse et délicatesse certaine.



Technique de drague: Le romantisme, la délicatesse, et la douceur.

Personnalité de votre avatar: Johnny Depp